Déclaration
de la CFTC suite à l’information sur le remplacement du directeur de l’action
territoriale délégué aux fraternités » CEC du 17 Janvier 2013. Création de
deux secrétaires généraux adjoints.
Notre rôle
n’est pas de commenter à ce jour le détail des changements introduits au
niveau du secrétariat général. Toutefois, nous nous étonnons que ce document (présentation de la réorganisation du secrétariat général)
fasse état de surcharge de travail qui ne donnera pas lieu à la mise en
place de nouveaux moyens humains. Qui supportera - in fine- cette
surcharge de travail ? Les N-1 ?
Nous vous
alertons sur la montée du mal-être et des risques psychosociaux dans
l’association. De plus en plus de salariés nous contactent pour exprimer ce
mal-être voire leur désarroi et nous demandent de l’aide. De la colère monte et
l’épuisement ou le découragement gagnent de nombreux salariés.
L’employeur ne
se donne pas les moyens humains et financiers pour mettre en place le projet
associatif qu’il a lui-même initié.
De ce fait,
l’équipe CFTC s’interroge sur la qualité et la cohérence du management
mis en place dans le groupe. Le remaniement du secrétariat général ne suffira
pas à résorber nos inquiétudes.
Nous demandons
là aussi un changement rapide de méthodes managériales sous peine d’aller
à un conflit majeur dans le groupe.
Les élus CFTC du CEC
on parle beaucoup de "management" dans le groupe...le problème vient de là, en effet...Votre déclaration sera-t-elle écoutée ?
RépondreSupprimerL'impact dans le réseau de la nomination de l'actuel directeur de la fédération des amis des petits frères des Pauvres au poste de secrétaire général adjoint chargé de l'action territoriale - et donc supérieur hiérarchique des directeurs de fraternité - a t il été bien évalué ?
RépondreSupprimerPar cette nomination, n'est on pas en train de nous dire que le modèle "amis" est celui qui doit désormais primer dans le groupe petits frères au détriment du modèle que l'on essaye de nous faire passer pour "archaique" depuis 2010 - celui des fraternités ?
Ne va t on pas nous imposer - et sans moyens supplémentaires - une politique de développement à marche forcée ?
Alors que nous avons vraiment besoin d'etre accompagnés dans les changements dont on nous parle depuis 3 ans mais qui sont pour le moment plus que flous ! Où travaillerons- nous demain ? Combien d'équipes bénévoles devra t on accompagner ? Devra t on multiplier nos temps de trajets ? Pour le moment pas de réponse !
Continuez votre travail, nous avons besoin de vous !